1329 |
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création
des confréries des métiers à Valencia (les meuniers sont un des
métiers les plus anciens de Valencia) |
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XVème |
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forte diminution de la population (62%
en moins) entre 1433 et 1499
- la population baisse dans les mêmes proportions
à Segorbe
- la rivière Jucar déborde presque tous les hivers autour de 1472 (
résultant vraissemblablement de beaucoup de pluies)
- Alzira est un exemple pouvant être généralisé au royaume de Valencia:
une perte de population au XV è |
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XVème
et XVIème siècles |
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renouveau
économique et politique du valencian, Valencia
se transforme en une grande puissance économique de la Méditerranée.
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XVIè
( ?) siècle |
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le
nombre d'immigrants (entre 10.000 et 30.000) français de "basse"
condition mêlés à la population du royaume de Valencia
est si importante qu'ils ont un rôle économique important:
cela empêche les autorités de les expulser.
Ils exerçent divers métiers, en
travaillant dans la montagne, en maniant le fer, en cultivant les
terres et les vergers où croissent les oliviers, le riz.
Il y a aussi quelques douzaines de navires provençaux et bretons
dans le port du Grao de Valencia ; […] ce "statut" il est conféré
à seize français domiciliés, à tous commerçants, entre 1511 et 1516
; en 1576 seulement, cinq français sont admis dans le domaine de
la bourgeoisie. |
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1550-1650 |
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la
prospérité du port de Valencia ne se dément pas au cours des règnes
de Felipe II et Felipe III (environ 1550-1650) ; Alicante,
promu comme port d'exportation de laines castillanes,
prend alors une nouvelle importance. Dans ces places et dans les
plus petits centres commerciaux, comme Gandîa ou Castellôn, sont
alors fixées et commencent à fleurir d'actives
colonies de négociants étrangers. |
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1609 |
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signature
du décret d’expulsion des mauresques en 1609, population
de religion musulmane qui cohabitait avec la nouvelle population
catalane-aragonaise. A partir de ce moment, la
terre reste abandonnée, le manque de main-d’oeuvre causé
par l'expulsion de milliers de paysans. |
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XVII
è siècle |
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plus
de 15.000 français à Valencia |
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XVIIè
et XVIIIème |
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les
maquignons du Cantal exercent vers Valencia et en Catalogne. Ils
forment des sociétés familiales de parents et cantalous, dans lesquelles
ils vendent les mules, les chevaux, la toile « Bretagne », les chaudrons.
Ils vendent au déballage, dans les foires et marchés, au porte à
porte, une boutique servant de poste central aux membres de cette
société. |
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1734 |
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la
corporation des cardeurs de draps se proclame "la plus ancienne
des corporations établies en Valencia" et a préséance dans les cérémonies
publiques |
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Fin
XVIII-courant XIXè |
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La
compagnie de Segorbe (c'est-à-dire établie à Segorbe)
voit ses membres venir de Pleaux
et ses environs. Nombreux y sont les Geneste, réunis en famille.
Ils vendent chaudrons, mules, chevaux et vins. |
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1874-1875 |
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les
maquignons représentent 65% des migrants vers l'est de l'Espagne,
et la grande majorité vers Valencia et ses environs. |