il
y a plusieurs millions d'années |
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formation
de petites veines de cuivre, dans lesquelles le minerai
est très concentré, en Tarazona, Catalayud,
Teruel et Alcaniz |
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dans
le départ de Source de la Grande vrille de Daroca et dans le terme
de Murero, abondants fragments de cuivre retrouvés avec de
possibles fours de fondation très ancienne (depuis l’antiquité jusqu'à
des temps plus ou moins récents).
En Fombuena, plusieurs mines de chalcopyrite ayant pu être exploitées
depuis des temps très éloignés: ont pu être exploitées depuis l'époque
romaine et arabe (extraction de cuivre gris) ; à noter que
la présence de chalcopyrite, galène, cinabre et argent signale
le cuivre. |
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Moyen-Age |
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Calamocha
abandonne le secteur du commerce et de l'artisanat dominé par les
auvergnats, le flux émigratoire étant attesté
dès 1530 dans la province de Teruel, à Calamocha.
Les chaudronniers sont peu présents. |
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vers
1528-1540 |
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à
Calamocha, les premiers registres de mariage commencent en 1530,
ceux des défunts en 1528. Dans les registres plus anciens, mais
pas toujours, est mentionné le lieu d'origine des contractants,
moins souvent celui des défunts.
En outre, les français ayant résidés plusieurs années
à Calamocha, et plus encore si ils se sont mariés
dans la localité, sont généralement indiqués comme voisins
de cette localité, sans être mention de leur origine étrangère.
Mais, des noms de famille d'origine transpyrénéenne (à consonnance
française), n'ont pas été inclus dans les listes de français,
l'origine n'étant pas implicitement indiquée. Ainsi, seuls ont été
pris en considération les registres nominaux dont la nationalité
est parfaitement indiquée.
Pour l'ensemble de l'Aragon, les émigrants français ont été préférentiellement
localisés dans l'actuelle province de Huesca et dans la vallée de
l'Ebre. Au fur et à mesure que nous nous déplaçons vers le sud,
leur présence est plus faible et leur localisation plus dispersée.
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mars
et avril 1533 |
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2
premiers décès de migrants à Calamocha |
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entre
1536 et 1710 |
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105
conjoints français sur 4.602 mariages à Calamocha |
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entre
les années 1550 et 1700 |
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à
Teruel, parmi 1.351 mariages rassemblés dans les différentes paroisses,
seulement 21 contractants sont français. |
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à
partir de 1630 |
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arrivée
de nombreux chaudronniers français vers Calamocha |
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XVIIè
siècle |
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les
migrants sont très spécialisés en Calamocha |
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XVIIè-XVIIIè
siècle |
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Vague
de construction d'églises dans le nord-est de la province
de Teruel |
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à
partir de 1632 |
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les
migrants se trouvent dans la vallée du Jiloca et le sud Aragon,
près des gisements cuprifères |
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1642 |
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dans
la vallée du Jiloca, migrants signalés dans la ville de Daroca |
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fin
XVII et au XVIII |
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vallée
du Jiloca où exploitation des mines, fonte du cuivre et élaboration
de bouillotes (amélioration à la fin des XVIIème et XVIIIème
siècles) |
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de
1720 à 1740 environ |
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les
français achètent la laine brute qu'ils lavent à Calamocha, puis
la transporte vers Zaragoza et vers
la France: les blanchisseries de la vallée du Jiloca continuent
à fonctionner |
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1764-65 |
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Ces
sociétés à Teruel en 1764-65 étaient au nombre de 6, formées par
des pères, frères et fils. |
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1764-1766 |
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le
nombre de chaudronniers est d'environ 11 à Luco del Jiloca, 34 à
Calamocha (où il y a beaucoup d'auvergnats) et de 23 à Teruel |
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en
1764 et 1766 |
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à
Luco de Jiloca et à Teruel (montagne d'Albarracin) 9
sont de Chaussenac, 4 d’Ally
et 2 de St Martin Cantalès, les
autres de Barriac,
Escorailles, Fontanges et Méallet ; Calatayud (vallée
des remorqueurs, mines des montagnes de Vicor et zone d'Ateca),
Caspe, Egea , Fraga, Maella, Tarazona (proche des mines de Calcena)
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en
1783 et 1786 |
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Les
sociétés à Calamocha sont aussi formées par un noyau
parental (2 ou 3 frères, pères et fils) qui adhéraient avec des
compagnons originaires de la même localité. |