Le
village est cité dans la charte
dite de Clovis, au XIIè siècle: "In villa Ambils
coloni 2, ubi mannet Amabertus, Frodabertus servi, Wilneus ; solvunt
in anno solidos 4, annonam modium 1." [NdA : A Ambial, il y a 2
métairies occupées par Amabert et Frodabert ; ils donnent 4 sols par
an et 1 mesure d'avoine].
L'éthymologie
serait-elle de ambe (ruisseau) ? Quoiqu'il en soit, le
village était autrefois un prieuré et appartenait au prieur. Siège
d’une justice seigneuriale régie par le droit écrit, Ambial ressortait
du baillage d’Aurillac, et en appel de la prévauté de Mauriac.
Le prieuré, quant à lui, dépendait du chapitre d’Aurillac. A
noter que les paroisses de Loupiac
et Saint Martin Valmeroux dépendaient, en partie, d'Ambial.