le Beix x - x Bourg de Pougeade x - x Bourlange x - x Champeil x - x Drignac-gare x - x les Farges x - x les Forges x - x le Fraysse x - x Goudanges x - x Maissac x - x le Marchedial x - x les Martres x - x Nesboullières x - x le Puech x - x Puy Dondon
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Nesboullières Néboliers, 1657 - Naboullières, 1693 - Naboulières, 1697 (état civil d'Ally) - Néboyère, 1742 (id Saint Bonnet de Salers) - Néboulié, 1778 (inventaire des archives de la maison d'Humières)
Un souterrain est présent, proche d'une maison. Il y a été retrouvé au XIXème siècle une pièce à l'effigie de Henri III, roi de France et de Pologne, avec une date: 1582 (?), et une inscription (Sit Nomen Domini Benedictum). Malheureusement, cette pièce a aujourd'hui disparu. Toutefois, la date devait être difficilement visible, car aucun atelier monétaire n'a battu ce type de monnaie en 1582, mais en 1583, et il aurait pu s'agir d'un huitième d'écu. La lettre d'atelier aurait alors été le "H", désignant l'atelier (et la ville) où elle aurait vu le jour. Le "H" correspondant à La Rochelle, il s'agissait d'un atelier protestant (la ville étant protestante).
Le propriétaire du souterrain était-il protestant (le seigneur de Drugeac étant protestant), ou avait-il contribué à soulager le véritable propriétaire de la pièce ???Enfin, pour anecdote, Henri III est le fils de:
- Henri II (1551-1559) qui soutenait les protestants en Allemagne, afin d'affaiblir les Habsbourgs,
- et de Catherine de Médicis, qui possédait plusieurs fiefs dans le secteur (dont celui de St Christophe les gorges).
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L'Italie à deux pas ... |
Or, Henri II acquit, en 1552, les évêchés de Metz, Verdun et Toul en Lorraine (Est de la France). Toul, où l'on retrouvera Guillaume II de Scorailles et Catherine de Barriac vers 1630 à 1640, lesquels participent au siège à Toul (où ils décèderont d'ailleurs, mais de vieillesse ?, les combats ne semblant pas avoir été importants puisque les nobles y étaient avec leurs épouses ...). Et la Lorraine qui appartenait à Louise de Lorraine, épouse de Henri III.
Dès lors, il est légitime de se demander si le temps qu'ont pu passer les cantaloux là-bas leur a permis de suffisamment bien connaitre le secteur, et de les inciter à y migrer après la fin de leur travail militaire ...
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